Un quart des jeunes diplômés espère travailler à l’étranger

Eh oui, pour ceux qui ne l’ont pas encore compris, l’avenir se joue en France et dans le monde, et pour faire face aux nouveaux défis, l’apprentissage de l’anglais n’est pas « un luxe dont on peut se passer ». Les chiffres parlent d’eux-mêmes : un jeune diplômé français sur quatre mise sur l’étranger pour son avenir professionnel. C’est une réalité. Le monde change, et il s’agit de prendre le train du changement avant qu’il ne nous laisse sur le quai. Apprendre l’anglais, et selon les nécessités, apprendre l’anglais des affaires, est devenu une priorité.
En France, une majorité de jeunes (58%) estime avoir peu de chances de décrocher un travail dans les six mois. Ils sont, en général, en recherche d’emploi depuis six mois, et 38% d’entre eux n’ont même pas décroché un entretien.
Le côté positif, c’est que justement les compétences et les connaissances des diplômés français sont très appréciées dans le monde. Alors pourquoi se priver ? Le calcul est simple pour un jeune diplômé : attendre une dizaine de mois avant de décrocher un premier travail ou s’expatrier et commencer rapidement sa carrière en enrichissant son CV d’une expérience à l’international qui lui ouvrira les portes de grands groupes français ou étrangers.